Echapper à la Barbarie , oui, à la condition d'ouvrir un Avenir bonifié, d'initier un rebond Civilisationnel

Bonjour à toutes et à tous !

Je m'appelle Luc, et je vous remercie de consulter mes réflexions philosophiques, spirituelles, sentimentales et politiques. N'hésitez pas à les commenter.

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Capitalisme, Communisme et 4ème Voie

http://2ccr.unblog.fr/…/cest-grace-au-communisme-et-a…/

C’EST GRÂCE AU COMMUNISME ET À L’URSS QUE LE CAPITALISME ÉTAIT PLUS HUMAIN

Mon commentaire sur cet article :

Bonjour.

Vous avez à 80% raison. 80% c’est beaucoup, mais comme le sait tout ingénieur qui se respecte, les derniers 20% sont les plus difficiles à compléter.

Oui. La pression de la classe prolétarienne et de ses alliés, sous toutes ses formes, dont l’URSS, les PC et les mouvements de décolonisation, a permis en grande partie de « socialiser » en partie l’économie capitaliste. Plus exactement d’introduire des éléments de socialisation dans un système sinon essentiellement caractérisé par l’individualisme libéral.

Toutefois, des tendances propres, dû en partie aux contradictions internes du capitalisme ont également été à l’œuvre. Les plus connues sont le keynésianisme et le fordisme. Parce qu’il faut bien reconnaître, le capitalisme est un régime politique ayant une grande aptitude à l’adaptation aux circonstances. C’est ainsi. Sans doute, économiquement en raison de la nécessité de s’adapter aux incertitudes du marché et a ses évolutions, mais aussi politiquement de toujours chercher à disposer de ressources et étendre les débouchés. Voilà pour une part des 20% restant.

Venons en maintenant à la situation actuelle et à ce à quoi travailler pour régler définitivement son compte à un capitalisme à la fois résurgent et décadent.

Vous évoquez la recherche de 3ème et de 4ème Voies par certains, comme des égarements. Vous en appelez de fait à une revitalisation des partis communistes. Or l’histoire ne se répète pas. L’heure des PC c’était le XXe siècle. Le cortège de souffrances et d’errements ; issus à la fois d’objectifs utopiques (le prolétariat comme classe dirigeante et la société sans classe) et d’autre part de la bureaucratisation inévitable qui en résulte ; ne sont plus en mesure de tracer un espoir, de susciter l’envie. Et cela, moins encore dans des sociétés où la « pseudo-satisfaction » de désirs délétères est placée au pinacle.

Supposons toutefois, que dans nos sociétés pourrissantes, qu’une possibilité de sursaut soit possible. Où le trouver dans un tel champ de ruines où ne demeure que le visage hideux du capitaliste sûr de lui, car seul demeurant vivant. Pas seulement, dans nos sociétés d’ailleurs, car la crise, en particulier idéologique, est telle qu’elle s’étend bien au-delà sur l’ensemble de la planète.

Alors quoi ? Eh bien dans votre tableau vous avez oublié une autre tendance lourde qui a surgit au XXe siècle et qui ne cesse de ressurgir, marquant ainsi son poids : la 3ème voie. Celle d’un De Gaulle, d’un Perón, d’un Kadhafi et de bien d’autres. Celles aujourd’hui de la Russie, de la Chine ou du Venezuela par exemple qui par des trajectoires propres convergent vers un autre modèle. Celui que j’appelle la 3ème Voie ++. C’est le cœur de l’affrontement mondial présent et ce n’est pas un hasard.

C’est ici la dernière part qui nous manquait dans l’explication des 20% restants.

Pourtant, il ne vous a sans doute pas échappé que comme pour le communisme dans sa version concrète la plus pure (URSS et satellites), les acteurs passés de la 3ème Voie ++ ont tous été défaits. Pourquoi ?

Parce qu’ils ne sont pas allés jusqu’au bout de leur démarche. Parce qu’ils n’en ont pas fait un modèle de société architecturé consciemment. En d’autres termes, parce qu’ils ont bricolés de manière « pragmatique » une 3ème Voie de collaboration de classes améliorée. Et tout particulièrement, parce qu’ils n’ont pas éliminé le grand capital qui en demeurant a fini par avoir leur peau, car comme de bien entendu : « ils en ont les moyens ».

Alors, de nouveau, quoi ? Bonne nouvelle ! Une 4ème Voie est possible. Nous ne sommes pas condamnés à la Barbarie. Je vous laisse la découvrir sur les sites http://www.Via4.net et http://www.1P6R.org.

Voilà ce qui me motive, malgré les difficultés, à chercher une autre voie. Certes, celle-ci finira par advenir, car c’est le sens de l’histoire (Cf. tendance lourde ci-avant), pourtant la conscience du but à atteindre permet de cheminer vers lui plus efficacement, avec moins de dégâts collatéraux.

Cordialement.

Luc Laforets

Mes travaux

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Les travaux auxquels je me consacre et leur site respectif :

Biographie

Je me préoccupe de l’évolution de la société française. De la perte de repères communs, de la dégradation de l’environnement, de l’endiguement sans cesse plus grand des libertés. C’est pourquoi je fonde en 2020 l’initiative « Une Perspective – la Sixième République » (1P6R) afin de réorienter la démocratie pour échapper à la Barbarie et ouvrir un avenir bonifié. Ma candidature à l’élection Présidentielle de 2022 étant le moyen de concrétiser cette ambition. L’écho de cette proposition d’une Constitution prête à l’emploi ayant été insuffisant, en dépit de sa capacité unique à vaincre l’oligarchie, je travaille depuis à faire émerger une quatrième voie à l’échelle internationale. Consultant indépendant, j’aie commencé sa carrière comme ouvrier électromécanicien dans une papeterie (usine de Saint-Étienne-du-Rouvray) après avoir écourté ses études faute d’argent. Je l’aie poursuivie notamment comme technicien de maintenance aéronautique dans une grande compagnie aérienne française. Reprenant ses études en 1995, j’obtiens un diplôme d’ingénieur CNAM informatique en 1999 avec mention très bien. Fondateur de la start-up e-Companion Software, après le succès technique mais pas commercial du progiciel Pollen, je m’oriente vers le conseil en architecture logicielle. Depuis lors, j’aie conseillé les plus grandes organisations privées et publiques dans des contextes tant nationaux qu’internationaux.

A propos de la Z Machine des laboratoires Sandia

D’après diverses sources (wikipedia[i], archives du site des laboratoires Sandia[ii], site de Jean Pierre Petit[iii], etc.), la Z machine aurait réussit en 2006 à obtenir la température de 2 milliards de degrés. C’est-à-dire une température rendant envisageable la fusion des noyaux d’hydrogène et de bore, soit une voie de fusion « relativement simple » et propre[iv].

 Honnêtement, je m’interroge sur la fiabilité de cette information.

Plusieurs indices me font douter :

  • Jean Pierre Petit, ancien directeur de recherche au CNRS et promoteur de la Z machine, dans une conférence donnée à Polytechnique, indique que lors d’un congrès scientifique les dirigeants du département Z machine de Sandia lui ont dit que cette communication était basée sur une mesure de température erronée.
  • Depuis 2006, le centre Sandia ne communique plus sur cette température de plus de 2 milliards de degrés, mais sur des niveaux bien inférieurs (un ordre de grandeur en moins)[v]
  • Cette information n’est pas étayée par des résultats d’autres équipes (ce qui n’est peut être pas surprenant compte tenu des installations nécessaires). Mais surtout elle n’apparaît guère reprise dans le reste de la littérature scientifique (j’exclus évidemment de cette catégorie les revues et sites de vulgarisation).
  • Enfin, le rapport de 40 ans d’activités[vi] de la division Pulsed Power des laboratoires Sandia édité en 2007, indiquait qu’en 2006 les mécènes du projet demandaient de « sortir de l’ornière » et qu’il était « temps de prendre des idées fraîches à l’extérieur ».
    Le moins que l’on puisse dire c’est que la publication d’un tel résultat est tombée fort à propos.

 Tous ces éléments m’apparaissent comme suspects. D’autant que la crédibilité de certains acteurs est douteuse. De plus la tendance à « arranger » les résultats scientifiques pour obtenir des financements est assez notoire.

 Je souhaite de tout cœur que mes doutes soient infondés. Nous verrons bien…